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20 février 2023 1 20 /02 /février /2023 09:29

Mais oui mais c'est bien sûr ! Où avais-je donc la tête, le médicament qui marche, c'est le méthyl/propyl parahydroxybenzoate !

Le principal dialogue de sourds qui a occupé le devant de la scène pendant la terreur du covid-19, entre les chargés de mettre la pression et le simple citoyen perplexe face à tant de sollicitude,  a été le suivant :

Simple citoyen : «Vous nous parlez de l'urgence de l'éradication du fléau et de l'épidémie, soutenant que les risques potentiellement liés à l'injection d'un produit encore nouveau donc expérimental, sont de loin préférables à la propagation du virus. Mais où voyez-vous donc des victimes en grand nombre, D. préserve, d'une telle calamité ? Cherchez "épidémie" sur Internet, et vous comprendrez qu'en pareille situation, les maisons et les rues sont jonchées de cadavres, et que les services de salubrité ne parviennent pas à soutenir le rythme des décès. Votre discours est imaginaire.»

Les agents pro-vaccinaux ripostent avec violence : «Vous êtes des négationnistes du corona, et à cause de vous des gens meurent.» Ils parlent à votre place : «Non, le coronavirus n'existe pas, d'après vous. Vous êtes des inconscients dangereux par votre influence qui refusent de regarder la réalité en face.»

Le discours tourne en boucle, car à ce moment-là du débat, l'honnête citoyen revient à sa première tirade :

 «Montrez-nous les monticules de cadavres qui encombrent les caniveaux.» Et ainsi de suite.

Dans l'approche dominante, formatée artificiellement par la manipulation et injectée dans bien trop de cerveaux, cette approche qui va du tout au rien, où si tout est sombre rien n'est clair, ou si tout est clair rien n'est sombre, il n'y a que deux possibilités : soit le corona est là, et il faut vacciner toute la planète ; soit il n'existe pas, et il ne faut rien faire.

Le juste milieu est pourtant simple : le corona est là ; il faut et il suffit de soigner les malades.

Rapidement, l'efficacité d'un médicament présent dans toutes les pharmacies contre le coronavirus est avérée : le Plaquénil.  Le virus est détecté en 2019, mais en mars 2020 on effraie les populations, on les enferme chez elles et on leur dit qu'on attend le vaccin qui permettra de revenir à une vie normale. Et comme par enchantement, ce remède devient introuvable. Les praticiens et pharmaciens de bonne foi déplorent la ruée de nouveaux clients qui conduit vite à une rupture des stocks et prive ceux qui les prenaient régulièrement de leur traitement. On reproche au professeur Raoult d'avoir provoqué cet intérêt pour le Plaquénil, précédemment prescrit aux patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde ou de lupus. Le laboratoire Sanofi, son auteur, alerte les autorités sanitaires. Du coup, l'Agence nationale (française) du médicament décrète que seuls les malades qui souffrent des articulations pourront se le faire prescrire. Une dérogation autorise son emploi pour des malades du covid-19 uniquement s'ils sont hospitalisés. Puis l'ANSM s'en mêle, et diabolise le Plaquénil, avertissant de graves risques cardiaques. Il y aurait eu trois décès. Puis O. Véran, ministre de la Santé en France, et l'OMS, suspendent les études visant à établir ou infirmer un lien entre la guérison et l'hydroxychloroquine, principe actif du Plaquénil.

C'est une étude du Lancet qui conduit à cette interdiction du recours à ce médicament pour se soigner du covid-19. Le professeur Perronne invalide les conclusions du Lancet. Il accuse ses chercheurs d'avoir effectué des tests en utilisant un dosage démesuré, digne d'un candidat au suicide. Les chercheurs se défendent, tels seraient les dosages préconisés par l'Oms, quand on se sert de l'hydroxychloroquine contre les amibes. Contre les amibes ? Comment ça ? Le professeur se gratte la tête avant de comprendre l'impair commis par le Lancet. Ils se sont mélangé les pinceaux. Ils ont confondu l'hydroxychloroquine avec l'hydroxyquinoléine, produit effectivement employé pour traiter l'amibiase (présence d'amibes notamment dans le foie).

Penaud, le Lancet retire son étude, le 4 juin 2020, publiée le 22 mai. Or, c'est cette parution qui a poussé les autorités françaises à abroger la dérogation permettant l'utilisation du Plaquénil en milieu hospitalier à l'intention des malades touchés par le covid-19. On peut honnêtement s'interroger sur ce qui a poussé les autorités sanitaires à privilégier l'opposition du Lancet au traitement, contre l'avis favorable soutenu en France par le professeur Raoult et aux Usa par le docteur Zelenko. L'avenir nous le dira peut-être, à l'heure où Pfizer et ses dirigeants s'enfoncent chaque jour un peu plus. On peut se demander aussi pourquoi la découverte de l'erreur, pour ne pas dire de la supercherie, a été censurée sur Youtube. (Tapez https://www.youtube.com/watch?v=cevj37rDRGo, vous allez voir).

On peut juste relever au passage qu'au moins deux des quatre auteurs de l'étude du Lancet pourraient bien être en position de conflit d'intérêt. Les cosignataires de l'étude sont : Mandeep Mehra, Frank Ruschitzka (Zurich), Amit Patel (Utah), et Sapan Desai. Seul ce dernier refuse d'admettre sa défaite, tandis que les trois autres ont demandé la suppression de leur article. Le dénommé Mehra animait des conférences pour Gilead, firme pharmaceutique ayant mis (mal) au point le très coûteux et inefficace Remdesivir. Mehra, directeur du centre de cardiologie à Boston (hôpital Brigham), a testé ce remède, et a certainement désiré qu'il fonctionnât. Quant à Sapan Desai, la société Surgisphere était sous son égide. Elle produisait des kits de tests de dépistage du coronavirus. Pour revenir au professeur Perronne, il est formel : il est interdit de mettre au point un vaccin pour prévenir une maladie quand des traitements médicamenteux existent.

Ce n'est donc pas la ruée de la clientèle sur le Plaquénil qui a conduit à cette pénurie, mais bien une intervention du pouvoir politique.

Un autre médicament, un antiparasitaire employé en médecine vétérinaire a été identifié comme utile contre le coronavirus chez l'homme, et salvateur pour qui aurait un mal de chien ou une fièvre de cheval. Il s'agit de l'Ivermectine. Encore un médicament qui représente une menace sérieuse contre l'aspiration à vacciner le plus grand nombre. En l'occurrence, l'un des pays les plus touchés par le covid-19 est l'Inde. Cette fois, c'est le Dr Soumya Swaminathan (pédiatre indienne, ayant fait des recherches sur la tuberculose et le virus du sida, scientifique en chef de l'Oms depuis 2019) qui intervient pour convaincre les différents Etats fédéraux de ne pas l'utiliser. L'Uttarakhand et l'Uttar Pradesh, en 2021, vaccinent très peu, mais optent pour le recours à l'ivermectine. Mais le Kerala, où les adultes sont injectés à plus de 92%, voit le virus faire des ravages. Les régions ayant écouté les recommandations de Mme Swaminnathan sont gravement affectées. Me Dipali Ojha, de l'association Indian Bar l'attaque en justice[1]. L'Oms, qui défend la ligne opposée à l'ivermectine, n'a pas été suivie par le ministère indien de la Santé. Le médicament est préconisé par ce ministère dès avril 21. Mais le 10 mai, Mme Swaminathan annonce que l'agence des Nations Unies le déconseille. Deux Etats du Sud ont suivi ses recommandations : le Tamil Nadu et le Kerala.

L'interdiction entraîne, au Kerala, qui ne contient que 3% de la population indienne, le résultat suivant : en août 21, on y trouve 50% des cas recensés[2]. L'Uttar Pradesh, en revanche, avec ses 240 millions d'habitants, n'avait à la fin août que 179 cas. Le Sénégal[3] a refusé lui aussi les recommandations de l'Oms. L'Algérie a quant à elle refusé la marchandise de Pfizer, en raison des contraintes du contrat, lavant cette société de toute responsabilité voire culpabilité, les Etats-clients devant assumer seuls tous les risques. Paradoxalement, l'Oms a félicité l'Inde pour ses résultats.

Quoi qu'il en soit, entre censure étatique et médias sous contrôle, entre accusations de fausses informations et admiration folle pour une firme pharmaceutique perçue comme une entreprise philanthropique désintéressée quasi messianique, la position du dernier maillon de la chaîne qui vous soigne, le médecin de famille, a été formelle pendant la crise : «Il n'existe pas de médicament contre le coronavirus».

Vous connaissez ces organismes (ministères, assurances, centres médicaux etc.) dont le répondeur automatique que vous avez en ligne avant de tomber sur une véritable personne, vous avertit que les appels sont enregistrés. Ainsi, en cas de réclamation future de votre part, vous pourrez être aisément confondu pour les contradictions et/ou le manque de bonne foi que contiennent vos propos. Le problème, c'est qu'en réclamant et en exigeant que l'enregistrement soit produit pour être réécouté, on ne vous le sort jamais. J'ai donc décidé de prendre les devants. Voici la retranscription partielle de la conversation que j'ai eue avec le médecin traitant, lorsque mon épouse, ayant attrapé la grippe, identifiée par test-covid comme étant en fait le fameux coronavirus, s'est vue interdire de sortir de la maison, confinée qu'elle fut en même temps que les autres membres de la famille, sous surveillance policière (appels fréquents).

  • Pourriez-vous délivrer une ordonnance par téléphone, pour ma femme ?
  • Certainement, je consulte tout de suite son dossier. Si c'est pour un médicament qu'elle est habituée à prendre. (Le docteur cherche…) De quel médicament est-il question ? (Apparemment, il n'a pas trouvé).
  • C'était un antibiotique (dommage que je n'ai pas retenu le nom, moi non plus). Vous allez le trouver. C'était en novembre 19.
  • Quel antibiotique ?
  • Je n'ai pas retenu le nom.
  • Si c'est pour un antibiotique, je ne peux pas le prescrire sans avoir ausculté… Qu'est-ce qu'elle a ?
  • Une toux très embarrassante, avec des glaires qui encombrent la respiration. Comme c'est pareil que la fois d'avant, si vous arrivez à retrouver le nom du médicament…
  • En fait, elle voulait vous voir mercredi mais vous lui avez dit qu'elle ne pouvait pas venir au centre médical. Vous avez imposé la condition d'un test négatif.
  • Ah ! Mais c'est à cause du corona. Pour le corona, il n'y a que le centre Moca qui peut s'en charger.
  • Le centre Moca ?
  • En effet, le centre Moca, pour les malades confirmés. C'est simple, c'est un virus,
  • La dernière fois aussi, c'était un virus, et vous avez prescrit un antibiotique.
  • Non, non, non. Si c'est pour le virus corona, les soins ne sont administrés que dans les hôpitaux. Ce n'est pas comme ça que ça marche. Pour le corona, on ne peut pas obtenir un traitement par téléphone.
  • Mais pourtant…
  • Il faut appeler l'Institut Moca, leur présenter le cas, et ils vont vous expliquer ce qu'il faut faire.
  • Vous ne pouvez pas envoyer un médecin qui se déplace et ausculte à domicile ? (Soit dit en passant, le préposé qui fait les tests se déplace en combinaison de sac en plastique chez les gens).
  • Leur téléphone c'est *5609. Comment pourrait-on visiter un malade du corona à domicile ? ça n'existe pas.
  • Ben. Le médecin, c'est celui qui vient guérir. Donc il va chez les gens malades quand ils ne se déplacent pas. C'est ce que j'avais compris.
  • Non, celui qui a le corona est en isolement. Et les conditions ne sont plus les mêmes. C'est une ambulance spéciale qui vient chercher la personne à domicile pour la conduire à l'hôpital.
  • Vous voulez dire qu'il n'y a plus aucune réponse médicale ?
  • Non, c'est le contraire que je viens d'expliquer.
  • Mais si on veut être soigné sans aller à l'hôpital ? En recevant simplement les médicaments qui fonctionnent.
  • Non, parce que vous n'avez pas suffisamment de connaissances pour savoir quel médicament il convient de lui administrer.
  • D'accord, mais vous, vous les avez, ces connaissances. Et vous pouvez lui prescrire le même médicament que la fois précédente où elle souffrait aussi d'une infection pulmonaire.
  • Je vous dis en tant que médecin ce que vous devez faire. Vous devez appeler le centre Moca. Si elle a des difficultés respiratoires, je vous délivre une lettre pour les urgences. En tant que malade avérée du corona, elle ne peut pas rester à la maison. Je peux vérifier tout de suite la procédure de transfert à l'hôpital. En principe, vous devriez contacter le centre Moca. Je suis justement en train de donner les bonnes directives médicales, contrairement à ce que vous me demandez. Je vous pose la question : a-t-elle du mal à respirer ?
  • En fait, la dernière fois aussi, je vous avais demandé si c'était le corona. Mais à l'époque, on ne faisait pas de tests. Et puisqu'elle a la même chose…
  • Une fois de plus, on ne traite pas le patient en faisant la même chose que la fois d'avant. Vous comprenez ? Est-ce qu'elle souffre de difficultés respiratoires ?
  • Pourtant. En fait, elle a mesuré le taux d'oxygénation avec un appareil. Elle est autour de 92%.
  • Très bien, mais si la personne a des difficultés respiratoires, elle ne peut pas rester chez elle.
  • Mais vous nous aviez toujours dit que le virus ne nous intéressait pas, et que c'était seulement la situation du patient.
  • Oui, mais là, ce n'est pas un virus habituel. On ne le connaît pas très bien.

Pour finir, nous déclinons l'offre. Il se passe de drôles de choses à l'hôpital. J'objecte pour justifier notre choix que s'il est incapable de prescrire un médicament, l'hôpital ne fera pas mieux ; mais que si, par contre, l'hôpital peut nous le prescrire, lui aussi peut le faire. Il se fâche un peu parce que j'ai selon lui l'intention de lui enseigner la médecine. Je lui dis justement qu'elle vient de montrer ses limites, et qu'il n'en est rien, puisque je me contente de lui demander de se baser sur son propre savoir et sa propre expérience pour nous délivrer le même médicament que la fois d'avant.

Mon épouse dort en position assise, la fenêtre ouverte (l'air est revivifiant en hiver dans les montagnes de Jérusalem, alors que les fenêtres sont souvent manquantes dans les hôpitaux). Elle s'assied au jardin le jour pour profiter du soleil (à défaut de néons et de lumière artificielle 24/24 h). On dit que c'est bon pour la vitamine D. Un ami médecin nous fait parvenir de l'azithromycine, que nous n'utilisons pas pour finir. La période d'enfermement policier s'achève. Mon épouse va retrouver le médecin. Elle va mieux, mais elle tousse encore. Le médecin se bagarre contre son ordinateur, lui montre l'avertissement qui l'empêche d'opérer et qui s'affiche sur son écran à chaque nouvelle tentative : «Ce patient est fiché malade du corona». Il parvient enfin à faire entrer les nouvelles données : période d'enfermement terminée. Le système se remet à fonctionner. Il prescrit l'antibiotique dont il a été question plus haut. Si ça peut aider, c'est le Zinnat Tablets, des cachets à base de Cefuroxime (Axetil), méthyl parahydroxybenzoate propyl parahydroxybenzoate, sodium benzoate. Pas étonnant que je n'avais pas retenu le nom. Eh oui ! Il a pour finir prescrit le même traitement que la fois d'avant.

Nb : Mardi dernier (14 fév. 23), je dois accompagner ma fille au dispensaire, pour un mal de gorge. Je demande où est le pédiatre. Il a terminé, me dit-on. Mais nous avons rendez-vous. La secrétaire fait passer son masque du menton au visage. Elle nous indique le généraliste. J'ai comme une appréhension. Un homme sort, c'est notre tour. Le praticien est masqué. Il nous demande d'en faire autant. Sachant qu'une certaine catégorie de gens ne doit pas être contrariée, et m'y étant sans trop y croire un peu attendu, je sors le mien : un modèle publicitaire datant de l'avant-dernier tour des élections. Ma fille, par contre, éprouve un sentiment d'injustice et d'horreur. Je pense que la levée de cette période cauchemardesque est intervenue juste à temps, juste avant qu'elle ne sombre dans la dépression, dans le décrochage scolaire. Elle a subi durant cette dictature une bonne vingtaine de tests, sans lesquels l'accès à l'école lui aurait été interdit. Je vois à son visage qu'elle se sent rattrapée par l'horreur. J'interviens, rappelle au médecin qu'il doit de toute façon lui vérifier la gorge. Oui, mais quand même, ce sont les ordres. Mais comment ? s'emporte ma fille, au bord des larmes. J'avoue moi-même ne pas trop comprendre. Je suis venu plusieurs fois au dispensaire depuis la fin des décrets, sans jamais avoir été confronté à une telle contrainte. Les médecins avaient eux-mêmes un masque ou n'en avaient pas, mais ne disaient rien. Mon fils qui travaille à l'hôpital m'a confirmé que cette pratique a depuis longtemps été abandonnée. C'est la goutte qui fait déborder le vase. Il ne faut pas trop s'étonner, dis-je. Tu as devant toi le médecin qui avait refusé de soigner ta maman, et qui voulait l'envoyer à l'hôpital. Les ordres, grommèle-t-il. Il nous réoriente vers l'infirmière, c'est elle qui fait les prélèvements dans la gorge. Elle aussi exige le masque. On vient pour un prélèvement. Je lui demande si elle compte se comporter ainsi jusqu'à la fin des temps, vu que le gouvernement, en annulant les restrictions, les a visiblement oubliés. Elle fait son travail et nous repartons.

Je lis sur un média que l'obligation des masques va être levée dans les derniers lieux jeudi 16 fév.

Ps : je n'ai aucune action auprès des laboratoires dont je cite les produits dans ce texte.

 

[2] https://www.youtube.com/watch?v=irCkkcFYnDE 12 minutes, JM Jacquemin Raffestin.

[3] Pr Moussa Seydi, chef du départements des maladies infectieuses de l'hôpital Fann à Dakar,  affirme qu'il ne faut ps suivre aveuglément l'Oms. Le traitement contre le coronavirus est lancé au Sénégal dès mars 2020.

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commentaires

C
Eh oui... Le soin couplé à du système bureaucratique numérique, c'est un rouleau compresseur dont on n'est pas près de se relever... Bref, on est foutus, en gros. Le mieux est d'éviter les médecins comme la peste et se soigner à l'ancienne. Shabbat shalom !
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