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25 novembre 2021 4 25 /11 /novembre /2021 16:59

Le développement qui va suivre repose sur un constat. Dans cette guerre d'usure qui n'en porte pas le nom, il semble que chez le public identifié comme laïc, on observe une plus grande indépendance de la pensée et de l'action. Notamment, si des confinés ont volontiers laissé chez eux leur téléphone portable pour circuler librement, sachant que les autorités ont trop vite décrété l'indissociabilité du porteur et de l'objet, on a pu en revanche voir de nombreux religieux observer religieusement les consignes, avec crainte et déférence. Mon approche première m'avait induit en erreur : j'étais en effet quasi certain que les directives nouvelles, du masque à l'injection, auraient peu d'impact chez un public mû par une foi inébranlable et multimillénaire. Il n'allait pas reporter sa confiance sur des forces étrangères, ni même en partage (Elim, en hébreu, se perçoit aussi bien dans le sens d'un dieu que d'une force).

Or, il s'est trouvé au contraire que l'assise stable du monde juif religieux risquait d'être détournée, exploitée à d'autres fins. Essayons pour commencer de donner une définition du terme pervers. En bref, la perversion est un détournement, une déviation. C'est prendre une force, une qualité, un atout naturel, une prédisposition, et le détourner de sa désignation première; C'est l'exploiter à mauvais escient, dans un contexte décalé, inapproprié. Les particularités ainsi exploitées courent le danger de ne pas atteindre le but pour lequel elles ont été créées, et d'être gaspillées. Choisissons ici de ne pas citer ou développer d'exemples, afin de ne pas nous écarter de notre sujet. Allusivement néanmoins, nous dirions que la force créatrice au sens physique du terme, qui se retrouve en chaque espèce afin qu'elle assure sa pérennité en ce monde, si elle est stimulée et exprimée ailleurs, perdra le sens de sa désignation.

Notre réflexion se focalisera ici sur la captation d'un public qui sera canalisé sur la base de son aptitude à l'obéissance, attitude présente à différents degrés chez tout le genre humain. L'obéissance découle de la soumission, de l'acceptation de l'avancée sur un chemin tracé par des lois, la Loi. Le Juif religieux se soumet à la Loi de son Créateur, qui l'a délivré de l'asservissement du joug des nations, de l'Egypte pour commencer, puisque c'est à proprement parler là que naît le peuple juif, préalablement clan familial puis peuple hébreu consacré par le don de la Torah, vu que l'événement collectif du mont Sinaï est perçu par la tradition comme une conversion plurielle au judaïsme. Le principe fondamental consiste à accepter avec une confiance inconditionnelle la Parole divine : «Nous ferons et nous comprendrons» ; obéissance et confiance.

Par ailleurs, les statuts, les lois qui gèrent les relations interhumaines, structurent harmonieusement une société unie. Les aspects irrationnels et explicables se côtoient sans histoires. L'illustration par excellence de la mise en avant de l'obéissance totale consiste dans le sacrifice d'Isaac. Après avoir selon une démarche sensée, logique, faite de questions, d'hypothèses, d'expérimentations, de la reconnaissance de ce que l'on nommera le monothéisme réprouvant les idoles, de la prise de conscience de l'importance de l'ordre social, de l'amour du prochain, de la condamnation de l'iniquité ou des abus coercitifs, etc., ne voilà-t-il pas qu'Abraham reçoit l'ordre de sacrifier son fils, sachant que ce geste procède d'une démarche résolument condamnée par lui. C'est là que nous apprenons la profession de foi de la priorité de l'obéissance sur l'intelligence. Abraham a élaboré en marchant devant l'Eternel toute une philosophie humaine et spirituelle, avant de recevoir l'ordre de se contredire. Il fait donc passer l'ordre divin avant ses valeurs, avant ses principes élaborés après mûres réflexions.

 «Tu m'as pourtant promis que c'est en Isaac que serait nommée ma postérité. J'ai compris auprès de Toi la valeur de la vie…» auraient pu être autant de contestations qu'il n'a pas émises. Le Midrach compare le sens de la richesse d'Abraham, bien avant la naissance d'Isaac, à un cheval qui aurait de la nourriture à satiété pour toute sa vie mais pas de tête pour la consommer. A quoi sert la richesse à l'homme qui part sans enfants? Abraham se fait petit devant l'absolu.

Dans mon livre «la Paix perdue» (inédit), j'évoque le cas d'un exercice militaire déontologique un peu particulier. A la fin d'une manœuvre à laquelle n'a participé que la moitié de l'effectif d'un campement, au retour de celle-ci, le commandant leur ordonne de simuler la prise de leur propre base. Les autres, restés sur place, ont été prévenus, l'objectif consistant à voir qui, des deux groupes, surprendrait l'autre. Pour finir, l'avantage revient aux attaquants. Mais le commandant a planifié une suite imprévue.

Ceux qui viennent de rentrer au campement doivent – l'ordre est transmis par voie militaire hiérarchisée - rassembler leurs armes en un point, sous l'égide de l'un des camarades restés au camp. D'aucuns refusent, arguant que cette phase n'était ni convenue ni même prévue. Arrive le commandant, qui se met à critiquer vertement ses soldats : «Vous venez d'investir une base, ayant totalement pris par surprise l'ennemi, et vous vous laissez désarmer sans combattre par un aide-cuisinier?»

Ce qui se passe juste après n'est pas indigne d'intérêt. Non pas que le commandant se soit pris à son jeu un peu trop, et que quelque soldat le lui fît remarquer, mais l'un d'eux protesta : «Mais enfin, commandant, c'est vous-mêmes qui en avez donné l'ordre, nous n'avions aucune raison de mettre en doute les paroles de notre camarade, d'autant plus que c'est presque toujours comme ça : c'est très souvent l'un de nous qui prend publiquement la parole pour transmettre ce que vous avez à nous dire.» Ce à quoi il répond : «Je ne veux pas le savoir, je ne veux rien entendre! Ça fait des mois qu'on vous enseigne ici les valeurs de l'armée, et je pensais au moins que le principe plus qu'élémentaire de ne pas se séparer de son arme avait été compris.»

Par la suite, la dissertation orale entre deux soldats, l'un d'eux faisant partie de ceux qui avaient refusé d'obéir, n'est pas moins intéressante. «Si on se met à réfléchir et à tergiverser quand un ordre militaire est donné, on risque de se faire battre par l'ennemi. Il faut que le système fonctionne sans dératés. On peut bien sûr comprendre la logique des ordres, le ou les motifs profonds qui ont fait exiger des soldats de se trouver en tel lieu ou de réaliser telle action et de quelle façon, mais n'est-il pas primordial de faire confiance au commandement quand parfois la situation, voire l'un de ses éléments, peut nous échapper, et obéir sans discuter?»

L'autre semblait perplexe. «Tu es religieux, n'est-ce pas? Eh bien, dans la Torah, il est écrit que tu dois être intègre, confiant, disons aussi naïf, envers l'Eternel ton D., et certainement pas envers le genre humain, de sorte que si on te demande de faire quelque chose qui contredit les principes les plus basiques, tu as le droit d'être sceptique. Ta candeur est parfaite face à D., pas face aux hommes.»

Cette illustration peut bien sûr ne pas être parfaite, et souffrir de quelque faille. Mais c'est là que je veux en venir. En restant dans l'exemple de l'armée, le religieux, qu'il soit idéologiquement sioniste au départ ou qu'il provienne d'un milieu orthodoxe qui met moins l'accent sur le retour présent de l'exil et le renouvellement de la souveraineté d'Israël, est largement considéré comme la crème de l'armée. Consciencieux, obtempérant, perfectionniste, il assimile le commandement aux représentants du renouveau de cette gloire nationale réparatrice de l'errance de l'exil, ce qui ne l'empêche pas de rester prudent, comme nous l'avons vu lors du désastreux démantèlement du judaïsme de Gaza, lorsqu'il s'est revendiqué de l'armée de défense d'Israël et non pas de sa destruction. Le gouvernement avait alors engagé des mercenaires pour un salaire de 9 000 shekels par moi, soit près de quatre fois le smic.

Non seulement le religieux s'inscrit dans un système d'obéissance, le Code des lois, mais il est en outre susceptible d'obéir à d'autres systèmes pour peu qu'ils soient incorporés aux exigences de la halakha. La prévention et la sécurité routières sont des notions relativement récentes. A l'apparition de l'automobile, des images d'archive montrent comment les piétons, les chevaux et les voitures utilisaient en vrac les mêmes routes. Deux piétons pouvaient se dire l'un à l'autre : «Décalons-nous sur le côté, il y a un automobiliste pressé derrière nous». Face à ce fléau nouveau, en dépit des avantages, il a fallu instituer un véritable code, un tome entier d'halakha. Il est largement admis que ses dispositions doivent être respectées, théoriquement tout au moins (cf les excès de vitesses), et il n'est pas surprenant que, vus les dangers évités et les vies préservées, le code de la route puisse être légitimement considéré comme un chapitre du Choul'han Aroukh qui n'a concrètement pas pu être rédigé cinq siècles avant notre époque, mais qui était prévisible au niveau de l'esprit de la Loi.

Mais de là à se laisser aller à des exagérations a priori inconcevables, il n'y a qu'un pas. Et c'est là que nous guette la déviation. Une déviation qui n'en a pas l'air pour beaucoup vient s'implanter comme si elle avait sa place au milieu de nous. Du système des lois de la Torah et rabbiniques, on nous fait glisser, sans estomper les caractéristiques de l'obéissance à ce dernier, et déraper pour nous placer sous le joug d'un autre système qui vient se greffer et s'imposer comme un parasite, une tumeur ou un cataplasme, un peu à la manière du coucou qui capte l'attention et les soins des hôtes forcés de son nid d'hébergement.

La démarche se calque sur le principe de l'Arn messager artificiel : de même que le produit injecté ordonne à vos cellules de produire une protéine non prévue par votre génome, de même il ordonnera à votre conscience religieuse et morale de produire une aptitude mentale d'obéissance et de conformation à tous les gestes nouveaux introduits dans votre paysage humain.

Le syllogisme est enfantin, et il aboutit, comme souvent, à un système hybride où des imposteurs se greffent à la vérité. La Torah nous enjoint de préserver énormément notre vie. C'est ce qui permet notamment de profaner le Chabbat pour sauver une personne en danger, entre autres en la conduisant à l'hôpital. Et c'est là que se produit un phénomène inouï. Par analogie, on pose : un virus ravageur provoque une pandémie mondiale. Pour préserver sa vie, il faut rester caché. Une gentille société qui fabrique et vend des remèdes va mettre au point un vaccin. On l'attend avec impatience. Puis, une fois conçu à la va-vite, elle va vous l'injecter gracieusement (c'est tout de même le contribuable qui paie, mais indirectement). Et toujours pour la même raison, le danger de vie, il faudra se montrer très obéissant, au doigt et à l'œil : on s'enferme, on sort, on s'enferme, on met le masque, on l'enlève, on le remet, mais surtout on se fait piquer.

A partir de cet instant, c'est un dogme, une religion nouvelle, qui prend appui sur la première. Ça vous dit quelque chose? De même que la Torah parle d'un rédempteur que d'autres viennent nous proposer, de même elle évoque la nécessité de préserver sa vie et voilà que d'autres se proposent de nous y aider. Aide forcée et exclusive cependant. On ne tolère aucune concurrence, voyez les problèmes faits à des médecins qui ont trouvé ou eu recours à un remède simple, accessible et peu coûteux. Si certains sont sceptiques dès le début, si d'autres se sont ressaisis par la suite, beaucoup sont devenus des inconditionnels. Que le remède ne marche pas, qu'il tue ou qu'il fasse des handicapés à vie, ils vous traiteront d'ingrats, d'hérétiques, et vous reprocheront de mettre la planète en danger. Vous ne pourrez pas les raisonner, de même que vous ne pouvez raisonner tout autre endoctriné de tout autre culte aux milliards d'adeptes. Les fabricants de thérapie génique ont fait en quelques mois autant d'adeptes que deux autres écoles, à la différence près qu'il a fallu respectivement dans les vingt et quatorze siècles à ces dernières pour y arriver.

Les graves manques du remède et ses dangers se heurtent au déni. Et s'ils sont reconnus, les dogmatiques auront recours à deux arguments de poids au choix : soit ce n'est pas «la faute au vaccin», ce n'est que pure coïncidence ; soit c'est totalement admissible parce qu'il faut bien reconnaître que cette société a sauvé des centaines de millions d'êtres humains sur notre planète. Les deux hypothèses – celle de la pandémie qui devait tuer toute la planète, ou la moitié, ou le quart ; et celle de l'indispensabilité d'un remède ou de la pertinence de celui qui nous est imposé – sont réfutées par les faits, mais qu'importe. Nous sommes dans le dogme, dans la religion, dans ce qu'elle a de plus obscure et d'irraisonné.  

Du coup, en devenant inconditionnels de cette religion nouvelle, avec son nouveau fléau et son nouveau sauveur, nous remettons en cause notre judaïsme, car cet ajout n'est pas sans risques. D'ailleurs, Eliyahou sur le Carmel avait bien reproché à ses compatriotes d'observer en plus du judaïsme les prescriptions (médicales?) du Baal. Une nouvelle scission s'immisce au milieu de nous, ce qui ne nous était pas arrivé depuis les fils du roi Salomon, Roboam et Jéroboam.

Les négationnistes du corona et du vaccin bienfaiteur sont risibles, détestables. Ils méritent bien qu'on les réduise à une catégorie de second rang, privée de passeport sanitaire. Les favorisés ne jouissent d'aucun privilège nouveau. Ils sentent illusoirement qu'ils s'élèvent, quand les autres sont brimés.

Un autre symptôme montre à quel point l'adoration est dogmatique. Chacun sait que les personnes ayant contracté le coronavirus sont immunisées, tout comme il sait depuis l'enfance que se rétablir d'une maladie revient à en être protégé à l'avenir, mais les inconditionnels les regardent de travers. Les agents de Pfizer, qui pourtant s'inquiétaient dans le passé (sauf erreur) de notre santé, insistent pour que vous veniez quand même vous faire administrer juste une dose, leur patron ne saurait être lésé. Ça se marchande, le bienfaiteur ne peut pas subir de pertes sèches. On ne dira rien non plus si votre pass est arbitrairement annulé. Eh oui ! il faut se soumettre à la piqûre. Paradoxalement, les gens les plus trouillards, ceux qui ont une peur panique de mourir du corona, qui portent dix masques, comptent vingt pas de distanciation, s'enferment chez eux dès qu'il n'est pas indispensable de sortir, se font passer pour de grands héros qui se moquent avec condescendance des peureux de la piqûre.

Qu'importe, disent les résistants : nous allons faire un test sérologique : et puisque nous avons le statut de rétablis qui nous donne les mêmes droits que les anoblis par capitulation devant les intérêts pécuniaires, nous irons au dispensaire. Problème : les dispensaires refusent désormais aux assurés ce test, encore pris en charge il y a peu. On vous signifiera par contre que la piqûre reste gratuite. L'indépendance a un prix : le test doit être fait en privé : 250 Nis par personne. (nb: on en est donc déjà à 500 Nis pour mes deux fils). Le comble, c'est que même si vous avez suffisamment d'anticorps, la durée reconnue de votre pass sanitaire renouvelé ne sera que d'un mois et demi, et il expirera à la date de votre présent pass, celui qui a été arbitrairement annulé pour faire marcher les affaires de l'industriel du médicament.

Essayez de dire à un cobaye heureux et consentant (quelle jouissance indécente il a ressenti à la troisième piqûre, tout avide qu'il est de la quatrième et des suivantes) : «Tu sais que si je cède à toute cette pression et que je me dise "après tout… ", je fais partie de la population le plus à risque face à un choc anaphylactique?» Il vous dira plus ou moins franchement que vous pouvez crever, et que vous pourriez être moins égocentrique face à une compagnie qui, même si elle vous tue non intentionnellement, aura tout de même sauvé tout le reste de la planète.

Les cobayes heureux se moquent de vous, et ils ont comme nous l'avons vu des arguments religieux pour ce faire. Vous connaissez l'histoire de ce fauteur de troubles dans une époque reculée, qui mettait en doute l'existence de son roi? Il parcourait le pays et poussait les serviteurs à se révolter : «Mais ce roi pour qui vous travaillez sans relâche, vous l'avez vu? Non? Forcément, puisqu'il n'existe pas. Vous êtes un serf volontaire, et c'est le seigneur de vos terres qui vous exploite.» Le roi apprit que la production avait chuté dans certaines de ses contrées. Bref, enquête, recherche, arrestation : l'agitateur mené devant le roi est bien obligé de reconnaître sa faute ou son erreur. Mais voilà que la morale de cette parabole a été corrompue. Alors qu'elle fait allusion au Roi des Rois, qui n'a ni corps ni forme de corps, elle a été récupérée par les richissimes industriels auprès de qui nos Etats sont devenus des vassaux. On se moque de vous, parce qu'on vous fait dire : «Le virus, vous l'avez vu? Et l'effet du vaccin, vous l'avez vu? Non, puisqu'ils n'existent pas.»

C'est, Cqfd, le cas par excellence de la perversion. Le D. Un que vous devez adorer, on vous demande de lui substituer un industriel condamné dans son pays et fort probablement récidiviste ; et les prescriptions halakhiques traditionnelles, on vous demande d'y ajouter les prescriptions médicamenteuses menteuses (facile, désolé), et surtout de ne pas vous rendre coupable de blasphème car grand est le nom de Pfizer.

Et c'est donc encore, Cqfd, le schéma par lequel le religieux est plus enclin qu'un autre à se soumettre à l'obéissance aveugle et irréfléchie. On a juste dévié et fait passer les valeurs de sa sainte crainte plus loin, chez un dieu étranger. Les crises se multiplient, mais pour ce nouveau dogme, tout est là par hasard : le meilleur allié américain part après un seul mandat, alors que chaque président en fait généralement deux, remplacé par l'un des plus hostiles à Israël ; un dirigeant vend son pays au testeur d'une thérapie génique qui, lorsqu'elle montre son danger et son inutilité, se révèle sous ses dehors véritables de machine à faire de l'argent ; puis le dirigeant perd le pouvoir alors qu'il s'y maintenait sans interruption depuis des années, depuis avril 2009, après le départ d'Olmert ; après cinq mois d'illusion, on nous indique le redémarrage de l'épidémie, que l'on comprend de travers, croyant qu'il faut et suffit d'augmenter quantitativement la dose d'un produit qualitativement défectueux ; des gens meurent de crises ou d'arrêts cardiaques, ou de leurs artères qui se bouchent peu après l'inoculation, mais ce n'est qu'un hasard ; un imposteur prend le pouvoir suite à une campagne de mensonges ; la sècheresse touche le pays avec seulement deux ou trois averses jusqu'à fin novembre. Le tav yarok (pass sanitaire) est toujours en vigueur, la discrimination se maintient, des étudiants en médecine voient leurs études suspendues etc. etc.

Cette division doit cesser : Aman, dans le rouleau d'Esther, repaire dans le peuple d'Israël une nation éparpillée, dispersée. Dispersé se dit en hébreu Méfouzar, pourquoi pas Mépfouzar (avec le doublage PF caractéristique des Saxons). Eh oui, Pfizer retient en ses lettres et nom la racine de la dispersion, du manque de fraternité et d'unité. Ne lis pas Méfouzar mais Pfizer, en reprenant cette démarche courante de la loi orale.

Rien ne vient pas hasard. La Torah nous met en garde : «Si vous marchez avec moi en invoquant le hasard», chaque fois que ça va mal. Le terme qui veut dire hasard est : Kerry, ce terme ayant la même racine que Mikrey, événement fortuit.

Donc, soyons intègres, confiants, sans remettre en question notre foi, et ne laissons pas des intérêts étrangers exploiter nos valeurs, ni récupérer à leur compte notre intégrité, notre confiance et notre abnégation. Comme disait ce soldat à cet autre soldat : «Intègre tu seras», certes, mais «avec l'Eternel ton D.»

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