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13 septembre 2022 2 13 /09 /septembre /2022 16:03

Dans un premier temps, j'avais pensé que les injections de la thérapie génique (Arn messager) étaient une expérience scientifique médicale. Je m'étais trompé. En fait, sur les quatre doses, seule la première répondait à cette définition.

Ces injections dont le consentement des cobayes avait été extorqué sous la pression, le harcèlement, le chantage et la menace, sous peine de perdre leur emploi et leur gagne-pain, ainsi que toute dignité sociale et de se retrouver à la rue, sans le sou, n'entrent dans le cadre d'une expérimentation que pour la première dose.

Dans une atmosphère délétère où le débat est proscrit, où toute remise en question, voire toute interrogation, met en branle le tribunal inquisitoire qui voit en tout élément contradictoire presqu'un blasphème, une information fausse marquée par le label d'appellation incontrôlée du «fake-news », il peut être pertinent de citer une instance au-dessus de tout soupçon, puisqu'elle est de surcroît pour beaucoup dans ces campagnes de discrédit social. J'ai nommé : le ministère israélien de la Santé.

Voici les chiffres officiels que n'importe quel quidam peut consulter, qui présentent le nombre d'injectés selon les quatre doses inoculées au grand public :

Dose 1 : 6 717 050 injectés

Dose 2 : 6 152 182 injectés

Dose 3 : 4 509 275 injectés

Dose 4 : 843 450 injectés[1]

Il n'est même pas question de lire entre les lignes ; les chiffres parlent d'eux-mêmes. Souvenons-nous : poussés par la peur de mourir, le devoir citoyen, la cession au chantage (dès qu'on aura terminé, on reviendra à la vie normale), les citoyens partants pour la vaccination avaient accepté d'emblée de prendre deux injections. Les autorités avaient été honnêtes, si l'on peut dire, et avaient prévenu qu'il s'agissait d'un traitement préventif s'opérant eu deux temps. Le produit est expérimental, mais on accepte de prendre le risque, convaincus de l'urgence et d'être sous le coup d'une épidémie venant faucher la vie aveuglément et à un rythme effréné, comme à Marseille en 1720. On est bien d'accord : on va gentiment recevoir la première dose et attendre patiemment la seconde.

Or, les chiffres sont formels : deux simples opérations, une soustraction puis une division, viennent nous montrer respectivement qu'ils sont 564 868 à ne pas s'être présentés pour la suite du traitement, soit 8.41% ; et encore, on ne sait encore rien sur les dégâts à longue échéance. Que leur est-il arrivé ? Pourquoi le Premier ministre, le ministre de la Santé, le PDG vaccinateur, etc., ne montent-ils pas au créneau pour avouer leur erreur et demander pardon au peuple ? Que font les médias ? Pourquoi ce silence ? En outre, quand des civils prennent l'initiative de récolter des témoignages de personnes gravement touchées par les effets a priori indésirables, leur documentaire, «le Projet des témoignages», est dénoncé comme fausse information et très vite censuré sur toutes les plateformes censées rééquilibrer l'information.

Il ne fait aucun doute que les personnes qui se sont abstenues la seconde fois ont été gravement affectées par la première. Ce qui veut dire que dès la seconde qui deviendra vite la deuxième, il s'est simplement agi d'une énorme machine à produire des gains et à graisser tous les rouages qui ont recommandé le produit et usé d'abus de pouvoir pour mieux soumettre.

Comme nous venons de le voir, ces données ne mettent en évidence que les victimes d'effets néfastes immédiats. Aujourd'hui, les victimes du moyen terme, ou leurs proches et connaissances, ne font plus aucun rapprochement entre les injections et les nombreux cas de décès intervenus subitement.

On sait que pour convaincre une population d'une espèce animale que le poison mis à sa disposition n'a rien à voir avec l'hécatombe subie en ses rangs, il faut que son effet soit reporté dans le temps. Algernon s'étonnera de la mort subite de sujets bien portants, si elle est différée. Ce n'est pas l'auteur de ces lignes qui compare les humains aux rats, mais bien les promoteurs de la vaccination.

Qui plus est, le nombre de décès imputables au covid 19 (et non pas au vaccin), s'élèverait selon le ministère de la Santé à 11 620[2].

Aparté : Il convient de répondre à l'accusation sous-jacente de manque de bonne foi : «Pourquoi les chiffres sont-ils considérés comme du solide pour les doses, et présentés au conditionnel pour les décès dus au coronavirus ?» La réponse est assez simple : le ministère sait combien de personnes il a injectées chaque fois, tout est comptabilisé ($$$). Mais de là à affirmer que les personnes sont décédées du covid, quand on connaît les accusations «complotistes» jamais démenties qui allèguent que cette comptabilité inclut des personnes dont la cause du décès est autre mais qui avaient été testées positives au corona sans en souffrir, il n'y a qu'un pas. Par ailleurs, certaines personnes ont en effet pu mourir des suites du corona, du fait que les autorités leur avaient interdit tout accès aux soins, en dehors d'une agonie en hôpital, quand des patients en détresse respiratoire n'ont pas eu droit à un apport d'oxygène insufflé via la bouche et le nez mais juste une sorte de tuyau à bulles d'aquarium. En France, en parallèle, ça avait donné : «Prenez un doliprane et allez dormir», et on avait assisté aux poursuites, suspensions et autres traitements de choc à l'encontre des médecins qui avaient osé porter utilement secours à leurs patients (protocle Zelenko ou Pr Didier Raoult, ou le traitement de cheval).

Une autre réalité est venue établir le fiasco de l'expérience. Bon, se disaient certains, au moins, ceux qui n'ont pas subi d'effets secondaires mortels ou invalidants, eh bien, ils sont protégés, et c'est toujours ça de gagné !

En juin 21, de très nombreux doublement dosés ont été non seulement positifs au covid mais passablement malades. Mais, à la grande surprise de quiconque possédait encore ses facultés les plus basiques de raisonner, les pouvoirs ont préconisé une troisième dose, un «buster», qu'ils disaient. C'est comme si on faisait une ordonnance d'aspirine à quelqu'un qui aurait mal supporté ce produit dans un premier temps. Le médicament ne vous a pas fait du bien? C'est que vous n'en avez pas pris assez.

Mais là, le réveil commence à s'opérer. Pour la troisième dose, les partants ne sont plus que 4 509 275. Ce sont donc 1 642 907, plus d'un million et demi de citoyens, qui ont l'intelligence et/ou le courage de dire non, car il ne faut pas oublier l'odieux chantage du gouvernement Netanyahou, qui allait considérer comme non-vaccinés et privés de leurs droits les plus élémentaires, tous les preneurs des deux premières doses.

Continuant sur sa lancée de la logique du «Si ça ne marche pas, c'est qu'on n'en a pas pris assez», les preneurs de la quatrième ne sont plus que 843 450, ce qui signifie qu'ils sont 87.44 %, soit près de 90 %, à refuser de continuer à se faire avoir.

Certains mensonges finissent pas s'épuiser, quelle que soit l'intensité du bourrage de crâne. En tout cas, c'est ce qui est arrivé au culte d'une injection devenue pour beaucoup sacrée, à un moment ou à un autre.

Et le comble de l'endoctrinement va être illustré par le cas (réel) suivant :

Un individu avait pris ses deux doses, avant de tomber peu après gravement malade du covid et de passer une bonne dizaine de jours à l'hôpital entre la vie et la mort.

Que constaterait tout individu normalement constitué ? De deux choses l'une : soit le traitement n'a pas été efficace, soit, puisqu'il n'était pas malade, c'est le traitement qui a provoqué la maladie.

Or, quelle a été la réaction de l'adepte du culte intéressé ? «Heureusement que je me suis fait vacciner. Parce que si, en étant vacciné, j'ai tellement souffert de cette maladie, qu'est-ce que ça aurait été si je ne l'avais pas été ? Je ne m'en serais pas sorti vivant»…  

 

[2] Données en ligne au 4 sept.-22(idem pour le lien).

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