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Réflexion sur Israël et la civilisation occidentale

Occident, France, Israël, des gifles pour mourir

Revendiquer sans complexes ses propres valeurs et ses propres droits

Le Régressisme (sans euphémisme) annonce l'autodestruction nationale au profit du chaos. On a exploité les meilleures qualités humaines pour mieux trahir les nôtres et favoriser une civilisation concurrente. En Europe, l'aspiration à la tolérance et à l'amour sans bornes, partout, nous explose à la figure. Mais qu'à cela ne tienne.

Les idées autodestructrices sont en vogue depuis près d'un demi-siècle. Elles naissent spontanément un peu partout et se propagent à travers le monde. Elles s'expriment par des phrases simples et succinctes. Venimeuses, elles se réclament toutes du même verni, la liberté, la tolérance, l'amour d'autrui, mais seulement d'autrui.  

Elles ont en commun la favorisation de l'étranger au détriment de son frère. Dès la racine, une mise au point d'impose. Tu aimeras l'étranger car tu as été étranger en Egypte. Mais tu aimeras ton prochain comme toi-même, et ton prochain, c'est ton frère. Le non-isolement de cet extrait du verset intégral l'indique avec certitude : «Ne tiens pas rancune et ne te venge pas des fils de ton peuple, tu aimeras etc.» (Lévitique XIX, 17). Ton prochain est le fils de ton peuple. Honorons ces moralistes qui luttent contre les amalgames. Si l'amour de l'étranger, justifié par la capacité d'empathie, de la qualité de se mettre à sa place et de percevoir ce qu'il ressent vu que tu as toi-même vécu cette situation, est un noble sentiment, encore faut-il savoir l'identifier et rester dans la nuance. La Torah identifie trois catégories d'étrangers, du plus proche au plus éloigné : le Gher Cédek, le converti, le Gher Tochav, qui ne s'est pas converti et vit très minoritairement dans tes murs – c'est à lui qu'il faut offrir une viande avérée non-cachère – et, bien que ce ne soit pas explicitement exposé de manière systématique, l'ennemi.

Il ne faut donc pas dépouiller son frère (dans le sens du natif de sa propre nation) au profit de l'étranger, ce qui serait perçu à juste titre par celui-là comme une pure trahison.

En Europe, des nouveaux-venus, attirés par l'aubaine, qui ne parlent pas les langues locales et n'ont pas toujours pour projet d'y exceller, obtiennent des logements, aidés par des associations qui leur remplissent les formulaires, pendant que se répand le fléau sinistrement célèbre des SDF, ces initiales n'ayant plus besoin d'être explicitées, SDF devenant un nouveau vocable.  

L'amalgame tue. L'exagération de l'amour pour l'étranger ne fait plus la distinction entre celui qui est heureux et reconnaissant d'être enfin accueilli au sein d'une civilisation humaine et bienveillante, et celui qui s'impose en conquérant. Un amour étrange autant qu'aveugle, incapable de discernement ou de bon sens.

En Europe, pendant quarante ans, les pouvoirs et les médias ont vanté la diversité, le vivre-ensemble. Mais ni les uns ni les autres ne le vivent. Ils habitent dans des cités cossues. Ceux qui l'expérimentent, ce sont les gens du peuple. La tolérance, l'exotisme à votre porte sans avoir besoin d'être riche pour se payer des voyages orientaux, mais quel progrès fantastique! Seulement, le dépaysement, on s'en lasse à la longue. Car les voyages vers des contrées lointaines, y compris ceux qui vous font côtoyer de près les autochtones, sont savamment dosés pour que votre avion vous ramène au bercail juste avant que la coupe ne soit pleine. L'exotisme à votre porte sans vous déplacer a eu quelque chose de séduisant, jusqu'au moment où vous avez réalisé avec stupeur que vous ne pouviez plus languir votre pays ni vous demander : «Quand est-ce qu'on rentre?»

Un président français avait compris ses citoyens en soulignant que les effluves exotiques pouvaient bousculer les natifs, et que ce travailleur de la classe très moyenne qui se levait tôt pour gagner son pain tandis que son voisin anciennement exotique vivait comme un nabab des allocations de sa ribambelle et de ses belles (attention, il y a tout de même des limites, la polygamie reste interdite, seule la favorite est l'épouse du nabab, les autres devant se contenter du statut de mère célibataire, ce qui est loin de les froisser, puisque dans sa culture d'importation, il les a toutes épousées, et tant pis si sur le papier, ça n'est pas encore reconnu).

Quoi qu'en eût dit M. Chirac, la France accueille depuis Giscard deux mondes parallèles : celui du planning familial qui autorise la naissance d'un garçon et d'une fille par famille (si vous êtes né dans les années 60-70 du siècle précédent, vous avez remarqué que les familles de trois enfants ont commencé par deux garçons ou deux filles avant de retenter leur chance) ; et celui des familles originaires d'ailleurs dont on ne voudrait pas froisser les valeurs anciennes que s'interdit l'Européen.

Si, par malheur, et de manière tout à fait exceptionnelle bien sûr, l'Européen indigène est gêné par quelques incivilités, et qu'il s'en plaigne, alors on fera appel à son intelligence, et à sa capacité d'encaisser, du haut de son éminence et de sa tolérance, des mœurs qui ne doivent pas le froisser, car c'est au prix de ce renoncement provisoire que le vivre-ensemble peut réussir. Cela ne dépend que de la bonne volonté du natif. Dès que le nouveau comprendra que personne ne lui veut de mal, alors il s'adoucira et fera transparaître sa légendaire hospitalité du Sud.

Il est évident que le pouvoir n'allait pas reconnaître : «Ah, flûte! On s'est complètement trompés sur l'intégration. On ne pouvait pas prévoir que tant de quartiers puis arrondissements puis villes allaient devenir complètement pourris et invivables. Eh bien tant pis, vous vivez un enfer et on n'y peut plus rien.»

Il disait : «Allons voyons, un peu de patience. N'allez surtout pas mettre à mal la réputation de terre d'accueil qu'est notre belle France. La vie est belle, regardez le bon côté des choses. Après tout, si tous ces gens viennent vivre chez nous et pas nous chez eux, c'est bien la preuve que la vie est beaucoup plus belle chez nous que chez eux! Allons, allons, ne soyez pas si égoïstes!»

Le Français incrédule prenait son mal en patience. Que pouvait-il faire d'autre? Puis la carte du pays commença à s'étriquer. Une étude recensa les «territoires perdus de la République». Dès les années 90, une émission télévisée, le Droit de savoir ou de regard, qui ne fit pas long feu car dérangeante, interrogeait les derniers des Mohicans, s'étonnant de voir qu'ils s'acharnaient à ne pas déménager. Les interrogés se justifiaient : ailleurs c'était trop cher, ou ils n'avaient pas le temps de prospecter. D'ailleurs, seul le retour du travail en rasant les murs les angoissait. La sortie de chez eux le matin était moins angoissante, puisque les hordes de rodeurs dorment. Pour leur volet sur les réseaux de trafic d'armes de type kalachnikov entre autres, ils furent soupçonnés de désinformation. Le pouvoir haussa les épaules. Un des présidents voulut montrer qu'aucun territoire n'était perdu, donnant lieu à une scène filmée où l'élu sortit de ses gons suite à un affront subi par un gosse mal élevé, euh, non, élevé différemment.

Curieux que le pouvoir français n'ait pas cherché à édulcorer cette réalité nouvelle, ou plus exactement de l'emmieller. «Réjouissez-vous, braves gens, oyez! Libérez-vous des tartes à la crème et des viennoiseries. Nous sommes dans l'ère moderne des dattes, de la semoule et du miel.» En fait, c'était déjà trop tard. Pour les Français indigènes, ces aliments étaient indigestes.

Mais alors, pourquoi ne pas appliquer à eux-mêmes ce qu'ils préconisent pour les autres? Ils pourraient enfin se débarrasser de cette moche image qui adhère à leur peau : «Fais ce que je dis, pas ce que je fais». Remarquez, ce n'est pas la seule France qui en souffre. Cette tendance caractérise assez bien la civilisation occidentale qui se fit imposer ce culte importé de Palestine par les Romains. Quand elle demande de tendre l'autre joue, ce n'est pas pour l'imiter, mais pour faciliter le décochage de la seconde gifle, dont le principe vient d'être recyclé, nous l'allons voir bientôt.

Ils devraient aspirer chez eux à la noble cause des : «Deux Etats pour deux peuples!» Mais non, c'est impossible, quels deux peuples? Les Français, c'est l'un des deux, d'accord, mais pour l'autre, il y a des dizaines de provenances! Bon, déjà, on peut éliminer toutes les nationalités d'Europe occidentale. On sait, l'expérience l'a prouvé, que les Portugais, Espagnols, Italiens, Polonais et j'en passe, deviennent Français de souche en une génération. Le maçon et la femme de ménage seront en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire relayés par des universitaires et autres ingénieurs, plus français que vous et moi. Ceci dit, même les métiers moins tape-à-l'œil ne seront pas moins honorables quand ils les exerceront. Et puis, chez les Juifs aussi, ceux à qui tout est imposable, le second peuple est un ramassis d'émigrants de Syrie, Koweït, Egypte et ainsi de suite.

Non, ce second peuple à qui il faut faire cadeau d'un Etat en réduisant sa propre surface, c'est partout le même : toujours le même culte, la même langue, le même alphabet vaguement cunéiforme, et la même aspiration de domination du monde encore infidèle qui n'aura la paix qu'en adoptant le modèle imposé.

Toujours en attendant, ce second peuple envahissant peut feindre de ne tendre qu'à un Etat sur la moitié de la surface, cette ruse stratégique du mensonge étant non seulement autorisée mais recommandée, hallal donc.

Mais ils sont trop honnêtes, les gens du pouvoir, en France, pour se  permettre la ruse des deux Etats. Ils savent dès le départ qu'ils n'ont aucune intention de laisser la moitié du territoire de France à leurs propres frères. Et déjà le programme de répartition de l'immigration dans les provinces bat son plein. Il y a même eu une première tentative avortée – mais ce n'est que partie remise – de massacrer tout un village. «Tu tues tout le monde, c'est facile», disaient-ils. Ça se fomentait gentiment chez Walid, échoppe d'un boucher débonnaire, en Bretagne[1].  Tonnerre de Brest! Non, pour la France, c'est avoué d'avance, sincérité oblige.

Car dorénavant, le pouvoir ne se cache plus. De «la vie est belle, que c'est beau la diversité!» on est passé à : «Eh oui, c'est dur, quelle vie! Elle n'a plus aucun sens. Mais qu'à cela ne tienne!» dit Maqueron. «Je vous ai préparé une loi de derrière les fagots dont vous me direz des nouvelles». Néanmoins, s'il est certain que l'idée géniale du pouvoir aurait pu provoquer des émeutes et le blocage du pays il y a encore vingt ans, ou trente ou quarante, il est peut-être encore un peu risqué de la crier trop fort. Pour ne pas trop brusquer les approches, il y a eu un petit avant-goût, ou dégoût, dans les années 19-20-21 : état de guerre (c'est le président qui s'en va-t-en guerre contre un microbe), couvre-feu, confinement, ségrégation et/ou inoculation, qui a attendri les citoyens, un peu comme on attendrit un beefsteak en l'aplatissant d'une planche en bois et en le laissant attendre.

Et c'est là que la gifle est une fois encore exploitée par les maîtres de la propagande et du formatage ; non pas une seconde joue à tendre pour mieux se faire frapper, mais la joue du président de la République en personne. Ces derniers temps, Maqueron multiplie les diversions, les digressions et autres canalisateurs perturbateurs d'attention : un kleenex, une poignée de main intrigante, sans gants, chez Dogan. Il ne nous a pas fait la phase de la dégringolade de l'escalier-échelle de son avion, car, contrairement à Biden, Maqueron n'est pas cascadeur. Et c'est là qu'intervient la gifle, la même que celle de l'arracheur de dent, quand la victime – ou le patient c'est pareil – oublie sa douleur de mâchoire. «Concentrez-vous, ne pensez à rien d'autre qu'à la gifle que m'a donnée ma femme, ou ce que vous avez par erreur pris pour une gifle, bien que toutes ces images soient vraies.»

«Vous avez raison, nous dit en filigrane Maqueron. Elle n'est pas belle, la vie. Elle est moche. Autant crever. Eh bien, grâce à moi, maintenant, la loi vous comprend, et qui veut mourir se fera aider, et il ne pourra pas changer d'avis».

Et voilà, l'aide à mourir a été votée à l'Assemblée Nationale le 27 mai 25. Il y a bien eu une toute petite manifestation, quand même! Mais pas la révolution qui aurait pu rendre au peuple le pouvoir et l'autodétermination si on lui avait fait le coup sous Giscard ou Mitterrand, voire Sarkozy (par encore phage) ou Hollande. Car le peuple n'était pas encore assez cuit.

En Amérique, dans l'esprit d'autodestruction, on a encouragé la mutilation volontaire. Vous êtes un homme? Vous n'êtes pas content? Mettez-vous là, dans cette machine, placez votre barbe devant l'ouverture adéquate, alignez-vous pour que votre torse et le reste s'emboîtent parfaitement. Un instant. Brrrr. ça  y est, vous êtes une femme! Comment, si vous pouvez avoir des bébés? Eh oh, le client n'est jamais content! Vous avez changé d'avis? C'est trop tard. Et si vous n'êtes pas content, si la vie n'a plus de valeur à vos yeux, allez chez Maqueron. Il vient de concocter pour vous une loi sur mesure.

En Israël, le travail de sape de la nationalité est une variation sur le même thème d'annihilation de la vigueur et de la bonne santé du peuple. On nous disait : «C'est avec ses ennemis qu'on fait la paix.» Là aussi, on supposait que l'animosité de l'étranger que nous avons par erreur pris pour le Guer Cédek ou Tochav, ne venait que de nous. Il suffisait de lui montrer que nous n'avions absolument rien contre lui. Il faut les écouter, les honorer, cesser de les humilier en les ignorant, etc. Le résultat, l'histoire nous l'a montré : attentats suicides, assassinats de jeunes femmes juives enceintes, ou juste du fœtus, mais ce n'est pas ce qui va choquer la civilisation en perdition qui autorise l'avortement presque jusqu'à l'instant de la délivrance. Puis vint le temps des bombardements, d'abord Sderot, puis Jérusalem et Tel-Aviv. Puis des pogroms, des viols et des enlèvements. En faisant la paix avec l'ennemi, ce sont les frères qui ont été sacrifiés et tout le pays qui est en guerre.

Pourtant, le Juif, favorisé, élu, premier peuple de notre civilisation (après la chute de ses premiers contemporains dans les oubliettes préhistoriques, demandez à un Akkadien ou un Sumérien), et aussi dernier en lice quand disparaitront à leur tour les puissances déclinantes qui sévissent encore à l'heure actuelle, aurait pu se plonger un peu plus en profondeur dans son Livre. Pourquoi demander où était la Présence divine le 7 octobre quand il est écrit que ceux que vous laisserez seront comme des dards ou des aiguilles dans nos yeux et nos chairs. «Or, si vous ne dépossédez pas à votre profit tous les habitants de ce pays, ceux que vous aurez épargnés seront comme des épines dans vos yeux et comme des aiguillons à vos flancs, ils vous harcèleront etc.» (Nombres XXXIII, 55) etc. Puis dans les Psaumes : «Ils ne se débarrassèrent pas des nations que l'Eternel leur avait indiquées» (CVI, 34). «Mais, mais», dit l'humaniste progressiste juif, la fleur au fusil rouillé : «Mais la morale juive ne consiste-t-elle pas à tendre toutes nos joues et à aimer l'étranger? C'est écrit pourtant!» Voilà ce que donne une lecture superficielle.

Tous ces avertissements ne sont pas surannés. Et on peut constater l'actualité cuisante que nous font subir ceux pour qui nous nous sommes par erreur montrés magnanimes. Le résultat de cette politique de favorisation de l'étranger-ennemi, au détriment de ses propres frères, n'a pas simplement rien apporté de bon à personne, mais a réveillé la complicité d'Esaü et Ismaël contre Israël. Et d'après vous, que signifie ce manège de ce sosie de Frankenstein qui accuse ses frères de passer leur loisirs à sacrifier des enfants chrétiens, euh, musulmans? Alors que cette population pour qui il verse ses larmes crocodiliennes a unanimement applaudi l'assassinat des bébés de la famille Bibas pour ne citer que cet exemple?

Cet individu a toujours voulu se faire bien voir par l'opinion antisémite. Il hurle : «Non, pitié, ne me châtiez pas avec les autres Juifs. Je suis de votre côté. Pitié! Voyez comme je les hais, je ne mérite pas que vous me fassiez partager leur sort. Oui, ils sont perfides, je suis d'accord avec vous, pitié!» L'athéisme et le manque totale d'attente du salut divin va bien avec cette approche de panique. Mais voilà, cet individu que n'incommode pas sa propre traîtrise donne lui aussi une gifle à ses frères, dans une tentative de détournement de son attention du danger d'autres 7 oct. en devenir.

Nous lisions Chabbat dernier (Jérémie XVII, 5-7) : «Maudit soit l'homme qui met sa confiance en l'homme… Béni soit l'homme qui met sa confiance en l'Eternel». Cela ne veut pas dire qu'il ne peut jamais y avoir un émissaire humain. Ne péchons pas tel cet individu sur un immeuble en flamme qui refusa l'échelle des pompiers qui renoncèrent et l'échelle de corde de l'hélicoptère spécialement dépêché. Seul l'Eternel devait le sauver. Puis, voyant sa fin proche, il protesta. Une voix céleste lui répondit : «Je t'ai envoyé les pompiers etc. Qu'est-ce qu'il te faut de plus?»

Comment savoir? D'abord, comprendre que c'est l'Eternel qui nous amène (מזמן) la bonne personne au bon moment. Ensuite, le désintéressement ou au contraire le chantage sont repérables et indicateurs de l'appréciabilité du secours apporté. Il faut aussi que cette personne en soit capable.

Très bientôt, on ne glorifiera plus l'Eternel car il a fait sortir les enfants d'Israël d'Egypte, mais du pays du Nord et de tous les pays «où je les avais relégués et je les ramènerai dans leur pays que j'avais donné à leurs pères» (Jérémie XVI, 14-15).

Il serait donc judicieux de se raisonner et de ne pas se faire prendre en flagrant délit d'antisionisto-sémitisme.

La loi est là pour aider l'homme à vivre, pour renforcer le prestige de sa nation et l'aider à vivre sain et heureux.

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